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PLAN D'ASSISTANCE HUMANITAIRE : QUAND L’OUEST CONFIRME SON ENGAGEMENT !

La région de l'ouest vient de mobiliser près d'un demi milliard dans le cadre de cette opération de collecte des fonds d'assistance aux victimes de la crise dite anglophone et se met en tête en termes de montant mobilisé.

CAMEROUN:CRISE ANGLOPHONE / ERIC CHINJE ECRIT A PAUL BIYA

L'ancien présentateur vedette  de a télévision publique camerounaise (CRTV) de 1984à 1991 (CRTV), récemment nommé directeur général de l’African Media Initiative (AMI) pour un mandat de trois ans, compte parmi les intellectuels camerounais les plus adulés de la diaspora.

Originaire de la partie anglophone du Cameroun, ce journaliste aux casquettes multiples a passé plus de 16 ans à la Banque mondiale à Washington DC en qualité de porte-parole de la Banque sur les affaires africaines et où il a occupé des postes de direction, à l’instar de la direction du programme Global Media Développement de l'Institut de la Banque mondiale (WBI). Il a aussi été directeur de l’Africa Region Strategic Communications (AFRSC), une unité de la BM où il a supervisé une équipe de plus de 80 professionnels de la communication basés en Afrique sub-saharienne. 

Il est également important de relever que Eric CHINJE a exercé comme directeur des Affaires extérieures et de la Communication de la Banque africaine de développement à Tunis sur la période de 2004 à 2008.

Grand passionné des questions de gouvernance, l’une des réalisations majeures de Eric Chinje dans ce sens a été le lancement du programme Independent Media for Accountability, Governance and Empowerment (IMAGE) qui a réalisé une série d’ateliers et de séminaires de renforcement des capacités des journalistes sur le reportage économique et financier, le journalisme d'investigation, les reportages sur la gouvernance et le budget, l'agriculture et d'autres secteurs, atteignant ainsi plus de 2000 journalistes formés en Afrique et en Asie.

Dans une lettre adressée au président de la république du Cameroun Paul Biya, le journaliste s’exprime sur la crise qui secoue depuis la fin de l’année 2016 les régions du Nord Ouest et du Sud Ouest de son pays.

Ses inquiétudes, des révélations et ses propositions mériteraient elles l’attention du destinataire ?

En tout cas, la position qu’il occupe aujourd’hui mettrait certainement l’expéditeur à l’abri d’un éventuel coup de tête.

 

Lisons plutôt.

 

« Excellence, M. le Président,

 

C'est avec un honneur et un respect immenses que je vous écris pour exprimer mes opinions sur un sujet que je crois être d'une importance capitale pour vous et pour notre pays.

 

Je crois que je suis l'un des nombreux Camerounais préoccupés, jusqu'à la distraction, par la tragédie qui se déroule dans le pays. La nation a clairement perdu ses repères et un nuage sombre et diabolique semble planer sur notre territoire, aveuglant tout le monde à la raison et au jugement moral. De là où je me trouve, Monsieur le Président, le Cameroun apparaît comme étant dans un état d'impuissance, glissant dangereusement dans un abîme d'où il ne peut émerger qu'après de grandes souffrances et de grands sacrifices.

 

Une personne a le pouvoir de changer le cours des événements, d'inverser la tendance et de mettre le pays sur la voie de la paix et de la réconciliation. Les esprits les plus nobles dans votre entourage vous ont déjà certainement dit cela : vous seul pouvez arrêter cette descente en enfer et raviver les espoirs d'un meilleur Cameroun. Certains ont prétendu que votre santé ne vous permettrait peut être pas d'organiser le revirement nécessaire dans la politique et l'approche des crises auxquelles nous sommes confrontés. Vous pouvez, cependant, donner des instructions fermes, et permettez-moi de suggérer en quoi pourrait consister de telles instructions.

 

Les crises dans l'est et le nord du pays sont générées de l'extérieur et appellent à la présence renforcée de l'armée nationale le long des frontières avec nos voisins, le Nigeria et la République centrafricaine. Vous avez donné des ordres permanents à cet effet, et l'armée a largement gagné le respect des citoyens sur les deux fronts. Des armées extérieures, y compris les Américains et les Français, sont intervenues pour aider.

 

La fameuse crise anglophone présente une réalité totalement différente et appelle une approche et une stratégie de leadership complètement différente. Pourquoi? Pour la simple raison que la crise est générée en interne, soutenue par une montée de la violence perpétuée par les extrémistes qui se nourrissent les uns les autres. Cette crise n'était, au début, qu'un problème de police; des gens à la gâchette facile autour de vous ont vu une chance pour bander leurs muscles. Ce que nous avons maintenant, c'est la militarisation d'un conflit au sein d'une famille, une guerre fratricide dans laquelle des Camerounais tuent des Camerounais. Et qui pensez-vous va gagner cette guerre?

 

Vous devez trouver la force morale et, espérons-le, la force physique pour faire ce qui est juste dans cette affaire, et mettre fin à cette crise avant qu'elle ne transforme un havre de paix unique en champs meurtriers et en rivières de sang. Trop de souffrances, de trop nombreuses vies perdues. L'odeur de la mort émane de paisibles maisons des villageois innocents pendant que Yaoundé respire! Monsieur le président, trop c'est trop! Permettez-moi de vous suggérer les actions suivantes que vous pouvez initier comme un ensemble d'instructions à votre gouvernement:

 

Retirer l'armée avec effet immédiat et envoyer la police dans toutes les zones de conflit dans les deux régions anglophones;

Libérer tous les anglophones incarcérés, y compris ceux qui ont été arrêtés au Nigéria, ne maintenir en détention que ceux qui ont expressément et à plusieurs reprises appelé à la guerre;

Permettre immédiatement à tous les détenus restants d'avoir accès à leurs avocats nationaux et internationaux;

 

Prévoir des ressources budgétaires et de conseil psychologiques pour soutenir tous ceux qui ont perdu leurs proches et habitations dans les villages incendiés par l'armée;

Fournir un soutien financier et psychologique aux familles de tous les soldats qui ont perdu la vie dans cette guerre malheureuse;

Engager des discussions et des arrangements constitutionnels fondés sur la spécificité du problème anglophone et sur la nécessité d'y remédier de manière à protéger les droits des citoyens et à renforcer l'unité nationale;

Engager des consultations qui aboutiront à la réécriture d'une nouvelle constitution pour le pays – une reconnaissance de l'inviolabilité de la fédération de deux États qui composent le Cameroun et décentralisant efficacement l'administration du pays en unités régionales de manière à rapprocher le gouvernement des gouvernés.

Inviter la diaspora camerounaise, l'Union africaine et les Nations Unies à participer à un dialogue ouvert et honnête sur les droits, les privilèges et les devoirs des minorités culturelles, linguistiques et religieuses.

Faire approuver la nouvelle constitution par référendum, avec des majorités dans les deux États;

Appeler à une journée de prière et de deuil national – qui se tiendra chaque année – pour tous les citoyens qui ont perdu la vie à la suite de la crise actuelle et qui implique toutes les religions et toutes les dénominations.

Je pense pouvoir dire que les objectifs visés par les dix propositions sont assez clairs. Vous avez peut-être d'autres moyens de les atteindre, mais je vous prie de considérer sérieusement ces suggestions et d'agir en conséquence.

 

Je vous conjure de ne point vous laisser tromper en pensant qu'il existe une solution militaire à la crise actuelle. La place que vous cherchez dans l'histoire va peut-être finalement être déterminée par la façon dont vous gérez ce problème.

 

Dans l'espoir que vous trouverez ces suggestions utiles dans la recherche d'une solution à la crise que vit notre pays, je vous prie d'agréer, monsieur le président, l'expression de mes sentiments distingués. »

 

 

 

Jan Byg-Mop Njansan (ouestmediainfo.cm)

SDF BAFOUSSAM 1er / LE DIABLE EST DANS LA MAISON !

Chacune des deux factions de la circonscription électorale du SDF de Bafoussam 1er a tenu son Comité Exécutif (CE) le dimanche 24 Juin 2018

                                                                    

         Comme annoncé à l’issue de la conférence élective du 17 Juin 2018, qui l’avait porté à la tête de la circonscription électorale du Front Social Démocrate (SDF) de Bafoussam 1er, le maire émérite Cyrille NYANG a présidé son tout premier Comité Exécutif (CE). Le dimanche 24 Juin 2018, les membres du bureau nouvellement élus et les présidents des cellules ont à cette occasion, dépoussiéré et réchauffé leur siège abandonné depuis des lustres pour l’ancien siège régional.

La «  faction » Nyang comme il convient désormais de la nommer, a réuni ses membres pour arrêter un calendrier de mise en œuvre de la feuille de route de son président. Ainsi, compte tenu de l’urgence imposée par des échéances électorales, il a été unanimement décidé de la tenue régulière des comités de circonscription afin d’évaluer les activités menées sur le terrain.

Selon un chronogramme élaboré avec la collaboration des présidents de cellules, le président Cyrille NYANG et son équipe entameront dés le 2 Juillet 2018, un périple à travers leur circonscription de compétence.

                                                               

   L’Objectif étant la relance effective des activités des cellules existantes et la réorganisation de celles disparues ou refroidies. Notons que selon les statistiques présentées par Augustin TANTSIKEM secrétaire à l’organisation jusqu’au 17 Juin 2018 et désormais vice président, seules 33 cellules sont vivantes dans la circonscription de Bafoussam 1er contre 61 escomptées.

Comme résolution majeure de cette rencontre, la tenue le 8 Juillet 2018 au siège régional, d’un atelier de formation sur la compréhension du code électoral et les techniques de fraude de l’adversaire. Il sera animé par Maitre Lavoisier TSAPY, conseiller juridique du parti. Y sont attendus, les présidents de cellules et les secrétaires à l’organisation, ainsi que quelques jeunes que ces derniers auront choisis. 36 membres ont effectivement pris part à ce comité exécutif.

     De l’autre côté au cabinet parlementaire de l’honorable NDEFO OUMBE SANGONG, à la même heure, sa faction tenait son comité exécutif sous sa conduite. Quelques membres invités à cette réunion avaient opté pour le camp du maire NYANG d’où la sonnerie incessante de leur téléphone portable, leur rappelant les assises dudit cabinet parlementaire qui autre fois tenait lieu de siège de la circonscription.

Peine perdue, ils ne s’y rendront pas. Invités pour couvrir la réunion, les journalistes se verront dire à l’ultime moment que tout se passera finalement à huis clos. Mais avant de se séparer, L’honorable OUMBE SANGONG leur aurait indiqué que « La conférence élective du 17 Juin 2018 était illégale et que l’instance supérieure du parti tranchera en sa faveur ». D’ailleurs, le seul point inscrit à l’ordre jour porterait sur les stratégies de contre attaque de l’élection du maire émérite NYANG auprès du NEC (Comité National Exécutif). Selon les sources concordantes, moins de dix personnes auraient répondu à l’appel de l’honorable NDEFO OUMBE SANGONG toujours convaincu qu’il reste le président légal de la circonscription électorale du SDF de Bafoussam 1er

Alexis YANGOUA (ouestmediainfo.cm)

 

 

 

 

 

 

 

BAFOUSSAM 1er / Circonscription électorale du Front Social Démocrate (SDF) : Cyrille NYANG détrône l’Honorable DEFO OUMBE SANGONG


Il a été élu le 17 Juin 2018 au cours d’une conférence élective très courue et pleine de controverses.

Photos nyang et Defo

               Ce sont les points 14 et 15 des résolutions du Comité Exécutif Régional (CER) du 29 Avril 2018 qui déclenchent le processus de renouvellement des bureaux des circonscriptions électorales du Front Social Démocrate (SDF) de la région de l’Ouest «  En vue de redynamiser le parti à l’Ouest, surtout que le mandat de 3 ans des bureaux desdites structures est arrivé à son terme depuis le mois de février 2018 ». Justifie Florent TCHANGOP, président régional. Le chronogramme dressé par Pierre SUKAM TCHADJUIP, secrétaire régional à l’organisation (SRO) va situer ces opérations entre le 27 Mai – 10 Juin 2018. C’est alors qu’un groupe de militants visiblement pas très contents de leur mandature expirée à un moment très stratégique, initient une pétition en vue d’annuler les décisions du CER, objet : «  Dénonciation de la purge politique en préparation au sein du comité exécutif régional SDF de l’Ouest à la veille des élections nationales ». Cette requête adressée au Président National NI John FRU NDI porte la signature de 16 membres dit on du comité exécutif régional dont 10 présidents de circonscription sur 40. Joint au téléphone à l’époque des faits, un signataire affirme s’être trompé en apposant son approbation sur cette pétition. Pour preuve, en date du 19 Juin 2018 presque toutes les circonscriptions se sont pliées à l’exercice à leur soumis par la point 14 du CER du 29 Avril 2018, sauf une seule, la CE de Bafoussam 1er, bloquée par son président l’Honorable Defo Oumbe Sangong.

      Alors que la commission électorale conduite par l’Honorable S M Paul TCHATCHOUANG s’apprête à se rendre à la CE de Bafoussam 1er, son président est saisi en date du 13 Mai par une correspondance des responsables de ladite CE. Ils évoquent des difficultés internes qui ne seraient pas de nature à favoriser une telle opération, notamment le renouvellement des cellules. L’accusé de réception du 30 Mai 2018, tient lieu d’une invite à la convocation d’une réunion extraordinaire «  à laquelle la commission de renouvellement sera associée ». Et la date du 3 Juin est proposée pour la tenue de ladite réunion. Suggestions entièrement validées par les plaignants. A l’issue de cette concertation, la date du 17 Juin est arrêtée par la majorité des membres pour la tenue des élections, mais cette fois au siège régional du parti. La date du 26 Août 2018 proposée par les pros OUMBE n’a pas prospéré.

      Pas très satisfait de cette décision qui le force à aller aux urnes, Honorable OUMBE SANGONG soumet sa déception à la réflexion du Comité Exécutif National (NEC) tenu le 9 Juin 2018 à Yaoundé. Il n’obtiendra pas gain de cause, plutôt l’équipe de l’Honorable TCHATCHOUANG est renforcée par la présence du secrétaire national à l’organisation.

Une élection sous fond d’éclats de voix

     A quelques jours de la tenue de la conférence élective du 17 Juin, une rumeur persistante propage une information selon laquelle l’Honorable Oumbé, président sortant aurait saisi le Président national du parti pour lui signifier qu’en tant que candidat à sa succession, il ne pourra prendre part à cette élection convoquée en pleine session de l’assemblée nationale. Argument non évoqué au cours du NEC et qui relève du dilatoire selon certains militants, ce d’autant qu’une résolution du NEC du 7 Mai 2016 exclut entre autres la candidature des députés au poste de président des CE. L’absence de l’Honorable DEFFO OUMBE ne saurait dans ce cas constituer un élément bloquant.

      Dès 9 heures ce dimanche 17 Juin 2018, les délégués ont massivement fait le déplacement du siège régional sis au quartier TYO Ville. Une foule que la circonscription de Bafoussam 1er acculée par le Mouvement pour la Renaissance du Cameroun(MRC), n’a pas connue ces cinq dernières années. Ils sont au total 319 repartis dans 24 cellules contre 27 cellules représentant les 2/3 de 61 cellules comme l’exige les textes du parti. La commission électorale décide alors de quitter la salle pour quorum non atteint. Une autre disposition des mêmes textes du parti indique que seul le fichier présenté par le sécretaire à l’organisation(S O) fait foi. Le procès verbal du renouvellement du dernier renouvellement qui consacra l’Honorable Deffo Oumbé en février 2015, mentionne que 28 cellules avaient effectivement pris part au vote contre 61 exigibles. Augustin TATSINKEM, SO au bureau sortant ajoute que 5 cellules ont été créées. Le calcul du quorum serait ainsi sur la base de 33 cellules au lieu de 61 (proportionnelles au nombre de conseillers municipaux de la commune de Bafoussam 1er) « le chiffre 61 est virtuel bien que statutaire ». Déclare Maitre TSAPY par ailleurs conseiller juridique du SDF. Une jurisprudence qui n’émeut pas l’Honorable Paul TCHATCHOUANG et sa commission décident de se retirer malgré la vive protestation des délégués.

                                                      

       C’est sur ces entrefaites que Maitre Lavoisier TSAPY en sa qualité de membre de la cellule des conseillers prend ses responsabilités et coordonne les opérations sur la base du fichier présenté par le S O. La liste consensuelle conduite par Cyrille NYANG est élue par résolution (acclamation) de la conférence de circonscription. Le glas du dinosaure est sonné. La page du président Oumbé Sangong est ainsi tournée après près de six mandatures. Le comité exécutif régional devra statuer sur ce cas. Les membres devront Soit appliquer le point 15 des résolutions du CER du 29 Mai 2018 qui stipule «  Arrête que toute entorse à ces renouvellements imputables au bureau sortant ne sera pas tolérée. Au cas où une telle entorse est constatée, le comité exécutif régional se réserve le droit d’installer à la tête de la structure mise en cause une coordination ». Soit s’appuyer sur la jurisprudence sus évoquée pour confirmer le bureau élu. Enfin, soit il invalide et annule l’opération. Eventualité peu probable car quelques membres du dit comité solidaires à la cause de Hon Deffo Oumbé à travers la pétition, lui ont tourné le dos en acceptant le renouvellement de leurs bureaux respectifs. Cette option serait aussi un risque démesuré de la part de la région. Elle pourrait entamer la légitimité qui auréole le bureau NGANG. Un bureau qui contient plusieurs membres du bureau sortant. Exemple : Augustin TATSINKEM, Grand conseiller à la communauté urbaine de Bafoussam, ex secrétaire à l’organisation et Directeur de campagne de l’Honorable Deffo Oumbé Sangong au législative de 2013, occupe le poste de vice président alors Madame MATCHINDA Jeannette très en verve, devra coordonner les activités des femmes socialistes. La première rencontre de la nouvelle circonscription de Bafoussam 1er est convoquée pour le 24 Juin 2018 à leur siège au lieu dit antenne télé.

Alexis YANGOUA (ouestmediainfo.cm)

        

 

Bamboutos/Galim veut s’affranchir de la tutelle des Bamboutos

Elie Saker TSHOUONGANG_Maire de Galim
Elie Saker TSHOUONGANG_Maire de Galim

Les galimois se sont exprimés à travers les conseillers municipaux.

       La salle des actes de la mairie de Galim dans le département des Bamboutos a abrité le 17 Mai 2018 la session ordinaire de conseil de la commune, consacré à l’examen et à l’adoption du compte administratif du maire et de celui de gestion matière pour l’exercice 2017

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