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Ouest / Election présidentielle du 7 Octobre 2018 : Campagne du président Paul BIYA, le sénateur NGOUCHINGHE Sylvestre met 60 millions de francs CFA dans la cagnotte.

C’était au cours de la réunion de collecte de fonds tenue le 15 septembre 2018 à la maison de parti de Bafoussam.

          La caisse devant alimenter la campagne électorale du candidat Paul BIYA dans la Mifi, contient déjà 82 830 000 francs Cfa. Montant obtenu le 15 septembre 2018 à l’issue de la  réunion de la collecte de fonds convoquée par l’Honorable  Sylvestre NGOUCHINGHE, Chef de la délégation permanente départementale du Comité Central  du RDPC. 

Tout le gratin politique et quelques élites de cette circonscription administrative étaient à ce rendez vous de la maison du parti de Bafoussam, bien que visiblement épuisés par une matinée  consacrée aux obsèques du patriarche Joseph KADJI DEFOSSO. Presque tous revenaient de Bana  pour une cérémonie  d’hommage  à l’un des capitaines de l’industrie camerounaise.

Animés par la flamme militante, les camarades  du président BIYA originaires ou  résidents dans le département siège des institutions de la région de l’Ouest, sont venus relever un défit, celui de rassembler un montant digne de la haute stature de leur champion.  

La température de la salle montera d’un cran lorsque le PDG CONGELCAM  va annoncer sa contribution qui s’élève à 60 000 000 Cfa portant le total de la cagnotte à 82 830 000 Fcfa.

Geste qui  va déclencher des acclamations bien nourries et chants de gloire en l’honneur du sénateur NGOUCHINGHE Sylvestre qui, un jour avant a rétrocédé 120 salles de classes et laboratoires scolaires à l’Etat, ainsi que du matériel scolaire à plus de 1000 meilleurs  élèves et doctorants  de la région de l’Ouest. Aussi aux meilleurs établissements de la Mifi. Les enveloppes remises aux lauréats contenaient des montants oscillant  entre 15 000 f Cfa et 100 000  fCfa  selon le diplôme obtenu.

Le chiffre de cette collecte de campagne  ira croissant au fur et à mesure que les absents du jour réagiront, a laissé entendre un responsable du parti. « Je suis très content pour la population. Je remercie les militants et militantes qui se sont mobilisés fortement pour cotiser ce grand montant pour la candidature de S.E Paul BIYA. Et nous promettons un vote massif le 7 Octobre 2018 » a confié le Sénateur NGOUCHINGHE à la sortie de la rencontre.

Réaction : Docteur Jules Hilaire FOCKA FOCKA, Président de la section RDPC Mifi – Centre

                                                     

« Une journée  fantastique dans le département de la Mifi. Le montant colleté aujourd’hui nous permettra d’aller sur le terrain  afin d’accélérer  la mobilisation. Nous allons dans les prochains jours passer  à la vitesse supérieure. Nous sommes tous galvanisés. Tout le monde est conscient des enjeux. La balle est actuellement dans notre camp.

Le  Chef  de l’Etat a fait son travail depuis plusieurs années, à nous de faire le nôtre. Je vais surtout tirer le chapeau au chef de la délégation départementale permanente, en occurrence l’honorable NGOUCHINGHE Sylvestre qui une de plus à frapper très fort. Quand on a faire à quelqu’un comme celui là, il y a de quoi aller à fond. Merci à ceux qui se sont battus pour que la cagnotte puisse atteindre ce niveau aujourd’hui ».

© ouestmediainfo.cm : Alexis YANGOUA

 

 

Ouest / Présidentielle 2018 : Ralliement de l’Union Démocratique du Cameroun au Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais, le responsable à la communication de l’UDC réagi

Ahidjo SN com UDC
Ahidjo SN com UDC

 

Comme une trainée de poudre, l’information  du  soutien de  Docteur ADAMOU NDAM  NJOYA  à la candidature  du candidat Paul BIYA  continue  d’alimenter  les chaumières à l’Ouest.

Crise permanente et guerres de leadership : Quand les politiciens du ‘’ventre’’ veulent tuer l’âme immortelle

L’actualité de la présidentielle du 7 Octobre prochaine remet au gout du jour la profondeur du malaise qui existe au sein de cette formation politique. L’âme immortelle est-elle victime d’un mauvais sort qui la condamne à la mort ?

La sérénité est ce qu’il ya de plus rare au sein de l’Union des Populations du Cameroun (UPC) depuis belle lurette. Le parti historique du Cameroun qui a vu passer en son sein des grands noms d’indépendantistes, à l’instar de Ruben Um Nyobe, Félix Moumié, Ernest Ouandie et autres, a toujours souffert des batailles du leadership, entretenues par ses propres cadres. Avec la convocation du corps électoral pour le 7 Octobre 2018 en vue de l’élection du président de la République,

les velléités sont plus que jamais perceptibles au sein du parti du crabe. Et l’on parle de la faction Bapoh Lipot et celle de Baleguel Nkot, ces deux upécistes qui se réclament chacun le titre de secrétaire général du parti.

Une question qui s’avère dépassée aujourd’hui à en croire certains cadres de l’Upc qui disent ne plus reconnaître l’honorable Bapoh Lipot comme membre du parti, bien qu’étant député Upc à l’Assemblée Nationale. En réalité, le député Bapoh Lipot est considéré comme persona non grata par ses camarades à cause des manquements jugés graves, portant atteinte à l’intégrité du parti.

Mais l’intéressé ne compte pas lâcher prise. Surtout que dans son combat il est soutenu indirectement par le régime de Yaoundé. On se souvient de la récente sortie du ministre de l’administration territoriale, Paul Atanga Nji qui, dans un communiqué, reconnaissait comme l’unique interlocuteur de l’Upc, Robert Bapoh Lipot. Une position qui contraste avec la réalité.

Il ya en effet moins d’un an, l’union des populations du Cameroun pour laquelle l’honorable Bapoh Lipot est désigné secrétaire général par le gouvernement, tenait son congrès au terme duquel  les responsables ont été élus à tous les niveaux.

Prenait part à ce congrès le Sous-préfet du département du Mfoundi au nom de l’administration et dont un rapport a d’ailleurs été transmis au ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation ; René Emmanuel Sadi à l’époque des faits qui avait alors délivré une lettre de prise d’acte. Sur ce rapport, le secrétaire général n’était autre que Baleguel Nkot, malheureusement aujourd’hui en disgrâce avec l’administration, depuis l’avènement du nouveau MINAT.

Un vrai désastre dans une République qui se veut démocratique, lorsque l’administration se donne le pouvoir de choisir les leaders au sein des formations politiques de l’opposition en fonction de ses humeurs. Le Sg élu officiellement en marge du dernier congrès du l’Upc, Baleguel Nkot, dans l’une de ses sorties sur le plateau d’une télévision camerounaise, dénonçait déjà ce complot contre sa personne, faisant remarquer qu’il a toujours depuis son élection, reçu des cartons d’invitation de la part des autorités de Yaoundé comme secrétaire général de l’Upc pour prendre part à des manifestations officielles. La dernière en date selon lui, du 20 mai 2018 

L’Upc et le fameux soutien à Paul Biya

Dans la foulée de cette cacophonie, une chose est constante : l’Upc, contre toute attente, soutient la candidature de Paul Biya pour la présidentielle du 07 Octobre, peu importe la faction.

L’honorable Bapoh Lipot a juste été plus rapide en s’alignant avec les autres dans le cadre de ce qu’ils ont qualifié du G-20 des partis de l’opposition qui soutiennent Paul Biya. Ce soutien est réitéré d’une manière ou d’une autre par Baleguel Nkot, dubitatif dans sa position juste à cause de sa mise à l’écart.

Mais dans le fond, il réitère le soutien constant de l’Upc dans son ensemble à la candidature de Paul Biya, président sortant. L’incongruité de ce soutien c’est que celle qui est présentée comme présidente nationale de l’Upc, en l’occurrence Habiba Issah, a fait acte de candidature.

Candidature malheureusement qui ne fait pas l’unanimité au sein de l’Upc. Les leaders des deux factions ayant opté pour la politique de positionnement trouvent que celle-ci n’a aucun droit de déposer une candidature au nom de l’Upc, bien qu’étant présidente élue.

Preuve s’il en était encore besoin du grand malaise de l’âme immortelle du Cameroun qui se meurt à petit feu. La solution miracle pour sauver l’Upc de sa crise permanente serait de convoquer les ‘’Dieux’’ du Cameroun  pour une séance d’exorcisme car, quoiqu’on dise, ce parti reste une identité remarquable dans le landerneau politique camerounais, malgré l’usure du temps.

Il faut le sauver des déchirures, des guerres intestines de leadership, aminées par ces champions de la politique alimentaire qui n’ont Dieu que pour leurs ventres. L’Upc ne doit pas mourir, l’Upc doit vivre pour la mémoire des combattants de la libération du Cameroun

©ouestmediainfo.cm : NADRA SAMIRA NGOUPAYOU

 

Crise permanente et guerres de leadership : Quand les politiciens du ‘’ventre’’ veulent tuer l’âme immortelle

L’actualité de la présidentielle du 7 Octobre prochaine remet au gout du jour la profondeur du malaise qui existe au sein de cette formation politique. L’âme immortelle est-elle victime d’un mauvais sort qui la condamne à la mort ?

La sérénité est ce qu’il ya de plus rare au sein de l’Union des Populations du Cameroun (UPC) depuis belle lurette. Le parti historique du Cameroun qui a vu passer en son sein des grands noms d’indépendantistes, à l’instar de Ruben Um Nyobe, Félix Moumié, Ernest Ouandie et autres, a toujours souffert des batailles du leadership, entretenues par ses propres cadres. Avec la convocation du corps électoral pour le 7 Octobre 2018 en vue de l’élection du président de la République,

les velléités sont plus que jamais perceptibles au sein du parti du crabe. Et l’on parle de la faction Bapoh Lipot et celle de Baleguel Nkot, ces deux upécistes qui se réclament chacun le titre de secrétaire général du parti.

Une question qui s’avère dépassée aujourd’hui à en croire certains cadres de l’Upc qui disent ne plus reconnaître l’honorable Bapoh Lipot comme membre du parti, bien qu’étant député Upc à l’Assemblée Nationale. En réalité, le député Bapoh Lipot est considéré comme persona non grata par ses camarades à cause des manquements jugés graves, portant atteinte à l’intégrité du parti.

Mais l’intéressé ne compte pas lâcher prise. Surtout que dans son combat il est soutenu indirectement par le régime de Yaoundé. On se souvient de la récente sortie du ministre de l’administration territoriale, Paul Atanga Nji qui, dans un communiqué, reconnaissait comme l’unique interlocuteur de l’Upc, Robert Bapoh Lipot. Une position qui contraste avec la réalité.

Il ya en effet moins d’un an, l’union des populations du Cameroun pour laquelle l’honorable Bapoh Lipot est désigné secrétaire général par le gouvernement, tenait son congrès au terme duquel  les responsables ont été élus à tous les niveaux.

Prenait part à ce congrès le Sous-préfet du département du Mfoundi au nom de l’administration et dont un rapport a d’ailleurs été transmis au ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation ; René Emmanuel Sadi à l’époque des faits qui avait alors délivré une lettre de prise d’acte. Sur ce rapport, le secrétaire général n’était autre que Baleguel Nkot, malheureusement aujourd’hui en disgrâce avec l’administration, depuis l’avènement du nouveau MINAT.

Un vrai désastre dans une République qui se veut démocratique, lorsque l’administration se donne le pouvoir de choisir les leaders au sein des formations politiques de l’opposition en fonction de ses humeurs. Le Sg élu officiellement en marge du dernier congrès du l’Upc, Baleguel Nkot, dans l’une de ses sorties sur le plateau d’une télévision camerounaise, dénonçait déjà ce complot contre sa personne, faisant remarquer qu’il a toujours depuis son élection, reçu des cartons d’invitation de la part des autorités de Yaoundé comme secrétaire général de l’Upc pour prendre part à des manifestations officielles. La dernière en date selon lui, du 20 mai 2018 

L’Upc et le fameux soutien à Paul Biya

Dans la foulée de cette cacophonie, une chose est constante : l’Upc, contre toute attente, soutient la candidature de Paul Biya pour la présidentielle du 07 Octobre, peu importe la faction.

L’honorable Bapoh Lipot a juste été plus rapide en s’alignant avec les autres dans le cadre de ce qu’ils ont qualifié du G-20 des partis de l’opposition qui soutiennent Paul Biya. Ce soutien est réitéré d’une manière ou d’une autre par Baleguel Nkot, dubitatif dans sa position juste à cause de sa mise à l’écart.

Mais dans le fond, il réitère le soutien constant de l’Upc dans son ensemble à la candidature de Paul Biya, président sortant. L’incongruité de ce soutien c’est que celle qui est présentée comme présidente nationale de l’Upc, en l’occurrence Habiba Issah, a fait acte de candidature.

Candidature malheureusement qui ne fait pas l’unanimité au sein de l’Upc. Les leaders des deux factions ayant opté pour la politique de positionnement trouvent que celle-ci n’a aucun droit de déposer une candidature au nom de l’Upc, bien qu’étant présidente élue.

Preuve s’il en était encore besoin du grand malaise de l’âme immortelle du Cameroun qui se meurt à petit feu. La solution miracle pour sauver l’Upc de sa crise permanente serait de convoquer les ‘’Dieux’’ du Cameroun  pour une séance d’exorcisme car, quoiqu’on dise, ce parti reste une identité remarquable dans le landerneau politique camerounais, malgré l’usure du temps.

Il faut le sauver des déchirures, des guerres intestines de leadership, aminées par ces champions de la politique alimentaire qui n’ont Dieu que pour leurs ventres. L’Upc ne doit pas mourir, l’Upc doit vivre pour la mémoire des combattants de la libération du Cameroun

©ouestmediainfo.cm : NADRA SAMIRA NGOUPAYOU

 

Ouest / Elections au Cameroun : L’implication forcée de l’autorité administrative dans le processus électoral.

Alors que les articles 54 et 60 alinéa 1 du code électoral sont on ne peut plus explicites sur la désignation du président du bureau de vote, ses missions et la composition de la commission locale de vote, les autorités administratives visiblement nostalgiques du temps de l’ONEL, sont toujours soupçonnées d’ingérence. Réaction de AWA FONKA Augustine, gouverneur de la région de l’Ouest et celles de quelques acteurs du processus électoral

Réaction gouverneur de l'Ouest AWA FONKA AUGUSTINE

« L’évolution que nous observons aujourd’hui c’est la volonté du Chef de l’Etat ainsi que le souhait des populations, de voir une institution indépendante gérer les élections au Cameroun. Maintenant avec cette phase d’ELECAM, l’autorité administrative est dessaisie complètement de ces dossiers qui sont pilotés entièrement par ELECAM, de la phase d’inscription, de l’organisation matérielle, du suivi sur le train. L’autorité administrative ne joue que le rôle de collaborateur pour accompagner ELECAM dans la sensibiliser des populations à s’inscrire sur les listes électorales. Mais elle reste avec un volet très important par ce que l’autorité administrative reste le patron de maintien de l’ordre. Donc, elle assure la sécurité dans toutes ces opérations. L’autorité administrative les accompagne. Elle s’assure que durant les inscriptions il n y a pas de problème. Pendant les élections aussi, elle s’assure que les forces de maintien de l’ordre sont là pour assurer la sécurité »

Luc OUANJI (Secrétaire Régional chargé de l’éducation et de la formation politique SDF / Ouest)

« Dans un pays normal, les administrateurs servent la République. L’expérience antérieure nous enseigne qu’au Cameroun on ne sert pas le pays, mais un individu, un système qui perpétue les prébendes. Les autorités agissent comme des auxiliaires d’ELECAM, pour ne pas dire qu’ELECAM qui est supposé être une structure neutre est l’appendice du parti auquel appartiennent tous les administrateurs. Les autorités administratives tiennent encore les présidents des bureaux de vote. C’est sous leur couvert que les procès verbaux sont falsifiés. Je n’attends rien d’eux. Bien que je souhaite que pour une fois, qu’ils fassent preuve d’une élégance intellectuelle (si tant est qu’ils aiment le Cameroun comme ils le prétendent) pour laisser le peuple s’exprimer en toute quiétude et que seule les urnes déterminent le futur président du Cameroun »

Dr FOKAM Josephine (2ème Adjoint au maire Bafoussam 1er /RDPC)

« Vous savez bien que les électeurs sont susceptibles de créer des troubles à l’ordre public. Les autorités administratives doivent prendre des dispositions nécessaires pour sécuriser les électeurs et les biens publics. Je ne vois rien de cachotier dans cette prérogative ».

Charlie TCHIKANDA (Ligue des Droits et Libertés / OSC) (photo)

«  L’autorité administrative n’a plus de rôle de premier plan dans le processus électoral. Elle est dans le bureau de vote comme membre désigné par ELECAM. Elle est membre de la commission locale de vote. Il y a un président du bureau de vote qui n’est pas autorité administrative. C’est ce président qui assure la police du bureau de vote. Le responsable de l’administration est placé sous l’autorité du président de bureau de vote. Malheureusement, dans la pratique on a constaté que l’autorité administrative ou son représentant a tendance à se substituer au président du bureau de vote. Il prend le pas sur ce dernier et le supplante. Les présidents des bureaux de vote sont généralement recrutés parmi les fonctionnaires qui croient avoir un devoir de soumission à l’autorité du représentant de l’administration. Un exemple parmi tant d’autres, cas d’un bureau de vote à Baham lors des dernières sénatoriales, où le président du bureau de vote admet les observateurs électoraux dans la salle, le représentant de l’autorité administrative s’y oppose et demande qu’ils observent à travers les fenêtres. L’autorité administrative n’assure la sécurité qu’à la demande du président de bureau de vote. Elle est dans ce cas sous les ordres du président du bureau de vote ».

© ouestmediainfo.cm : Alexis Yangoua

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